Pierre Boulez est décédé mardi 5 janvier 2015 à Baden Baden. Né le 26 mars 1925 à Montbrison (Loire). Dès l’âge de 8 ans, il joue Chopin et découvre la musique de la Renaissance. Il manifeste également très tôt des dispositions particulières pour les matières scientifiques et poursuit des études de mathématiques après son baccalauréat. Dès l’age de 18 ans, il suit les cours d’harmonie au Conservatoire National de Paris auprès d’Olivier Messian.

Depuis quelques années, les bibliothèques s’interrogent sur leur baisse de fréquentation qui va en s’aggravant. Comment empêcher ce phénomène, comment faire face à cette situation, identique dans tous les pays (États-Unis, Grande-Bretagne, France…) ? 
Dès 1999, la Grande-Bretagne s’en est préoccupée, notamment dans les faubourgs de Londres où les bibliothèques connaissaient cette désaffection.

Dans la Belle Province, une nouvelle génération d’artistes tient sa place sur la scène francophone comme sur la scène internationale. La chanson, mais aussi la pop-rock s’exportent d’autant plus que les interprètes et compositeurs québécois peuvent également chanter en anglais. Ils s’appellent Malajube, Pascale Picard, Karkwa, Pierre Lapointe, Ariane Moffatt et autres "délinquants joyeux", comme on les surnomme là-bas, ont entre 25 et 30 ans et ont déjà foulé nombres de scènes et de festivals.

La vulgarisation scientifique, ou comment aimer et faire aimer la science…
L’image de la science a énormément changé depuis quelques années.
La science est devenue beaucoup plus proche du grand public grâce à des émissions comme "La Tête au carré" de Mathieu Vidard sur France Inter, ou "C’est pas sorcier" sur France 3, grâce aussi à des manifestations comme "La Fête de la science" qui a lieu chaque année en octobre et qui propose partout en France des expositions, des débats, des ateliers, des rencontres avec des scientifiques.

Concernant cette période finalement assez récente de l’histoire européenne et mondiale, il est frappant de voir comment l’opinion actuelle juge et considère ces évènements, souvent à mille lieux pour l’essentiel, de la perception qu’en avaient les contemporains. Les filtres idéologiques actuels tendent en effet à nous rendre presque incompréhensibles certaines époques passées au regard des mentalités contemporaines.

Vingt ans après la mort de son créateur, l’illustre aventurier, fils d’une gitane de Séville et d’un marin des Cornouailles vit de nouvelles aventures sous la plume de Juan Díaz Canales et Ruben Pellejero.
N’est-ce pas l’occasion de lire ou relire ses aventures et emprunter la magnifique exposition consacrée à Hugo Pratt ?